Válega et Aveiro

          A la fin du récit de cette journée, vous trouverez un diaporama où vous pourrez découvrir toutes les photographies du jour et quelques autres en plus.

         Pour les voir en mode plein écran, appuyez sur la touche F11 de votre clavier.

          Nous quittons Porto, suivons la direction Maceda et la N 109 avant de rejoindre Válega.

          Valéga est un village qui possède une église dont les murs de la façade sont décorés d'azulejos multicolores reprenant des scènes de la vie du Christ (voir photos). L'église étant fermée, nous ne pouvons pas en effectuer la visite intérieure. A côté, un petit cimetière ajoute un plus à la quiétude du lieu.

          Nous affichons une aire pour parking à Aveiro dans notre GPS :

 ( N 40.63712° ; W 8.63897°) ou (N 40° 38′ 13′′ ; W 8° 38′ 20′′), ce qui nous permet de trouver facilement un stationnement en arrivant dans la ville.

          Avant d'arriver à ce parking, nous traversons des marais salants.

          Aveiro est située au bord d'une lagune. Dès notre arrivée, nous voyons les moliceiros, des bateaux à la proue décorée qui promènent les touristes sur le canal Sao Roque ; autrefois, ils servaient à transporter le limon.

          Nous traversons un petit pont, longeons le Cais (quai) dos Mercanteis, bordé de jolies maisons colorées.

          Le marché aux poissons, de style Eiffel est au repos ce matin.

          D'autres moliceiros, solidement amarrés dans le canal central, attendent les touristes.

          Plusieurs maisons de style Art nouveau sont bâties Rue Barbosa de Magalhães et rue João Mendonça.

          Les trottoirs, remarquablement pavés, attirent rapidement notre regard.

          Les statues rappellent les activités humaines du lieu, le paludier (voir photo ci-dessous) en est un exemple.

          De la rue  José Estevao joliment pavée, nous apercevons l'église de l' Apresentaçao.

         Nous déjeunons dans un petit restaurant proche, pas très bien d'ailleurs et aucun lien avec ce qui suit.

           Nous quittons le restaurant, effectuons une photo de la sympathique rue do Tenente Rezente, et là stupeur !!! J'ai perdu ma carte bancaire et les quelques euros qui étaient dans le porte carte. J'effectue, d'un pas rapide, le parcours inverse de celui effectué le matin avant le restaurant, c'est long et infructueux. Ma femme m'attend dans le petit parc "Jardim do Rossio" et prend la photo d'une agréable maison blanche, jaune et bleue, rue  Bernardino Machado proche du Jardim do Rossio.

          Nous sommes revenus au camping-car puis allés à la police municipale pour "voir au cas où ...", rien bien sûr mais ils nous font un certificat de perte. En résumé, la police municipale est sympa, mais un peu lente...

          Une heure plus tard, environ, nous remontons dans notre camping-car bien garé mais en stationnement illicite sous les yeux de la police municipale.

          Nous faisons opposition à la carte bancaire … Avec cet événement, sans conséquence sur la suite du voyage, nous en oublions d'acheter les fameux œufs mous (ovos moles) repérés lors de notre petite balade du matin, nous ne retournons pas voir les marais salants comme prévu, pas plus que nous ne verrons la gare ferroviaire et ses azuleros.

          Nous reprenons la route pour aller au Parque Campismo Municipal de Coimbra.

Coordonnées GPS : (N 40° 11 ' 20 " ; W 8°23'58")

                           ou (N 40.1889 ; W 8.39957)

18,33 € la nuit Camping-car + 2 personnes + électricité

4,55 € ( 4,09 € avec réduc) par adulte 7,05 €  ( 6,35 € avec réduc) pour le camping car et 3,80 € (sans réduc) pour l'électricité.

10% en moins sur personne et CC avec carte ACSI.

Étape du jour : 141 km

PS : c'est jour de malchance, au terrain de camping, nous n'avons pas la prise adéquate (adaptateur laissé dans une borne), la préposée à l'entrée, vraisemblablement néophyte, n'a pas d'adaptateur à proposer alors que c'est souvent le cas dans les campings. Comme nous avons vu, juste en arrivant, un "Leroy Merlin", nous y allons ( pas d'adaptateur France-Allemagne mais la prise classique des autochtones). A l'aide d'un petit tournevis, il me faudra jongler entre la prise internationale que j'ai et la prise portugaise ou allemande ou espagnole... enfin ce sont les prises françaises qui semblent différentes, résistons-nous ? Il faudrait enquêter.