Une belle balade en Creuse et Corrèze.

Le mardi 17 juillet 2007

        Nous quittons la maison et dans la soirée, nous arrivons au terrain de camping municipal de Courtille à Guéret (Creuse).

Le mercredi 18 juillet 2007

     Nous sommes partis de la maison, sans préparation aucune de ce petit périple contrairement à nos habitudes, avec pour seul objectif : "la Creuse que l'on a souvent traversée mais jamais visitée".

 

       Nous nous rendons à l'office de tourisme de Guéret situé à 20 à 30 min du terrain à pieds.

 

        Nous quittons Guéret tard dans la matinée pour aller visiter le musée de l'électrification de Bourganeuf.

 

         Ce dernier  retrace l'histoire de l'électrification de Bourganeuf qui fut l'un des premiers villages de France électrifié.  Nous pouvons y observer des panneaux instructifs, des maquettes et effectuer quelques manipulations classiques d'électricité (si ce n'est pas en panne).Une micro centrale, les  installations hydrauliques et  de captage d'eau sont visibles à l'extérieur.

 

       C'est une visite agréable et à conseiller, surtout si vos enfants sont au collège, ils comprendront un peu mieux l'intérêt de leur cours de Physique.

 

       Nous allons au terrain de camping municipal d'Aubusson (8,96 €/nuit).

 

 

 

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Le jeudi 19 juillet 2007

        Nous commençons cette journée diversement. Madame visite la Manufacture Saint Jean pendant que Monsieur visite le centre, va à l'office de tourisme et ensuite achète le journal et le pain.

Nous allons ensuite à Saint Georges de Nigremont, un point haut (table d'orientation), qui domine une partie de la région. Le point de vue est agréable mais ce jour là le temps (vent et menace de pluie) n'est pas de notre côté.

 

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        Aux environs de midi, nous nous dirigeons vers Crocq  où nous ne restons pas, nous nous contentons de remarquer que ce village possède un certain caractère mais le temps orageux et les nuages menaçants nous font partir vers d'autres lieux.

 

      Nous naviguons et nous tournons dans la campagne autour de Gentioux par un très mauvais temps malgré tout, nous allons voir le pont de Senoix (ou Sénoueix) daté du XVIIème siècle. Il comporte  une seule arche composée de gros blocs de granit . Il enjambe le Taurion, qui n'est ici qu'un petit ruisseau coulant au milieu de la lande du plateau de Millevaches.

 

 

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        Si les routes empruntées ce jour-là demeurent floues au moment de résumer ce voyage ( 18/08/2009) malgré les quelques notes prises, nous savons que le soir nous sommes arrivés au terrain de camping de Faux-la-Montagne, petit village sympathique avec quelques "petits" commerces. Dans la nuit, nous avons eu un bel orage et une bonne pluie. Peu de monde dans le camping...Quelques personnes..

Le vendredi 20 juillet 2007

        Nous partons de Faux-la-Montagne pour aller faire un petit tour au lac de Vassivière. C'est un magnifique lac de barrage...Le paysage est très changeant en fonction de la lumière, des couleurs de l'eau et des arbres. Reposant.

 

 

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Nous nous rendons à Gentioux, nous nous garons sur une petite place et nous nous rendons au monument aux morts du village car c'est l'un des plus célèbre de France.

         Le monument est constitué d'un enfant le poing tendu vers l'inscription "Maudite soit la guerre". C'est émouvant.

 

 

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        ... et nous nous rendons à la commanderie des templiers de Pallier située à 3 km de Gentioux en allant vers Pigerolles.

      Fondée sur les bases d´une Commanderie, elle est devenue au XVIIIè siècle, la Maison d´un Notaire Royal.

 

        Situé juste au-dessus, la chapelle date du XIIème siècle et à côté de cette dernière se trouve un cimetière où l'on peut voir des dalles funéraires gravées de la croix de Malte.



 

 

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       On peut aussi visiter, à proximité, une reconstitution d'un jardin médiéval, avec ses plantes aromatiques et médicinales, ses roses, ... C'est un lieu sympathique dans lequel il est agréable de flâner.

 

 

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         Dans la soirée, nous reprenons la route et quittons la Creuse pour la Corrèze pour nous arrêter au camping municipal de Viam à environ 4 kilomètres de Bugeat.

Samedi 21 juillet 2007

        Nous quittons Viam pour aller effectuer quelques courses à Bugeat et passer à l'office de tourisme pour nous ravitailler en idées.

 

        Nous quittons Bugeat pour Treignac que nous visitons  sous une petite pluie.Malgré ce temps, la promenade à travers les ruelles Renaissance s'avère agréable, Nous pouvons y admirer des maisons en granit ornées de la coquille de Saint Jacques de Compostelle ainsi que des maisons bourgeoises flanquées de jolies tourelles. Les toitures sont couvertes d'ardoises provenant de la carrière de Travassac voisine.

 

      Nous  voyons la halle aux grains médiévale où deux jours par semaine aujourd'hui encore se déroule le marché et l'ancienne chapelle Notre Dame dont le clocher "tors" a une forme très rare, paraît-il, en Europe.

      Nous ne quittons pas Treignac avant de nous rendre à la porte Chabirande construite au XIIIème siècle qui est la  seule entrée de la ville qui subsiste. Les deux autres ont été détruites.

        A gauche, une fois la porte franchie, nous remarquons la maison des gardes qui, il y a déjà longtemps, assuraient la surveillance de ce passage.

 

 

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     En raison d'un temps quelque peu maussade nous nous décidons à rejoindre l'aire de Meymac située au dessus du lac. Elle est bien située et agréable.

 

 

Le dimanche 22 juillet 2007

Ce dimanche matin, nous décidons d'aller faire un petit tour au Mont Bessou situé à une altitude de 976 m et le haut de la tour à 1000 m.

 

 

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        Nous passons au petit village de Millevaches d'où nous postons du courrier.

 

        Ensuite nous rejoignons la tourbière du Longeroux, la plus grande du Limousin. C'est un magnifique site naturel, riche de nombreuses espèces végétales et animales souvent rares et protégées. La Vézère y prend ses sources. Deux sentiers nous permettent une petite incursion dans ce milieu.

 

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        Puis nous nous rendons aux ruines romaines des cars...

 

          Situées à proximité de Saint-Merd-les-Oussines, elles datent des II et IIIe siècles. Le site gallo-romain se compose d'un ensemble funéraire et d'une villa gallo-romaine.

 

    Cette seconde partie située à 300 m de la première est surplombée par une imposante cuve en granit, qui devait servir de réservoir et alimenter toute l'installation hydraulique du site.

 

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      Ensuite nous suivons très souvent la Vezère, nous repassons Bugeat, Viam, Treignac avant de rejoindre le terrain de camping municipal d'Urerche.               

                                                                                            (10,50 € / nuit).

 

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Le lundi 23 juillet 2007

         Nous trouvons à nous garer sur l'aire de camping-car d'Uzerche, parking de l'ancienne gare ( nous ignorions son existence), elle est d'ailleurs assez bien située pour visiter la ville.

 

        Nous attendons à l'abri dans le véhicule sous une pluie battante avant de nous décider, dès la première accalmie, de gagner la vieille ville en empruntant le vieux pont de chemin de fer aujourd'hui réservé aux piétons.

 

        A partir de la place de l'Hospice, nous montons la rue de la Justice puis la rue Pierre Chalaud dans laquelle nous admirons la Maison à pans de bois (Voir diaporama).

        Dans la rue, nous remarquons sur les portes de certaines maisons des branches de noyer séchées (remède à base de noyer utilisé pour lutter contre la peste au Moyen Age). Aujourd’hui pour perpétuer la tradition , on les suspend encore des branches de noyer du jour de la Saint-Jean à la Saint-Jean suivante.(Voir diaporama).

        Ensuite nous observons la façade de la maison Eyssartier

d' architecture Renaissance, avec ses fenêtres à meneaux restaurées. Cette maison fut le logis des Eyssartier, famille d'apothicaires pendant plusieurs générations. L'écusson avec le mortier et le pilon au-dessus de la fenêtre en témoigne. (Voir diaporama).

        Puis nous descendons vers la porte Bécharie, classée monument historique, qui est une belle entrée de la ville (Voir diaporama).

        Nous remontons, par de jolies petites rues vers l'abbatiale Saint-Pierre de style roman avec son clocher limousin du XIIème siècle (Voir diaporama).

        A proximité, nous accédons, par l'extérieur, à la crypte du XIème siècle soutenue par de gros piliers sans aucun ornement sur lesquels prennent appui des voûtes en berceau (Voir diaporama).
   
        A côté, nous  pouvons voir la massive École Primaire Supérieure qui montre par sa présence que la république et la laïcité dans cette région n'hésitent pas à défier la puissance cléricale encore très marquée en ce début du XXème siècle.

        Enfin, tranquillement, nous reprenons, par les rues empruntées à l'aller le chemin du retour.

        Belle et plaisante visite, malgré une pluie tenace, de cette ville d'Uzerche bâtie sur un rocher dans un méandre de la Vézère où le  Moyen Age n'est jamais très loin.

 

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Uzerche : Vue prise du vieux pont de chemin de fer.
Uzerche : Vue prise du vieux pont de chemin de fer.

          Nous nous dirigeons vers Vigeois où nous visitons respectivement :

 

  - l'Abbatiale romane (chapiteaux en particulier)


  - le Vieux Pont médiéval qui enjambe la Vézère. Il est équipé d'avant-becs en amande et de contreforts en aval qui assurent l'assise des piles.

 

        L'abbatiale et le pont sont classés Monuments Historiques.

 

 

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       Nous prenons une petite route qui nous emmène vers Le Glandier (commune de Beyssac) où nous voyons de l'extérieur une ancienne chartreuse qui est actuellement un centre de santé. Le lieu ne nous enthousiasme pas beaucoup...

 

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       Nous reprenons une autre petite route pour aller vers Comborn où nous traversons la Vézère pour arriver à l'aire de camping-car d'un petit village qui a conservé un " petit Utile " tout près de l'aire

 

 

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          .........pour arriver à l'aire de camping-car du petit village de Sadroc.

 

 

Le mardi 24 juillet 2007

        Ce petit village a conservé un " petit Utile " situé tout prés de l'aire, ce qui permet aux camping-caristes d'aller faire quelques courses ...

      Nous ne manquons, comme d'autres camping-caristes l'occasion d'aller faire nos courses ici car un petit village qui met une aire à la disposition de notre loisir mérite bien cela.

 

       ....et nous prenons la route pour aller visiter les ardoisières de Travassac.

 

         Les couches d'ardoise, épaisses de quelques mètres, ont la curieuse particularité d'être verticales. L'ardoise a été extraite 200 m de profondeur.

         Nous ne voyons plus aujourd'hui que d'immenses plaques de quartzite. Des "perces" (passages) ont été creusées dans la quartzite au marteau et au burin.

        Au cours de la visite nous assistons à une démonstration de taille d'ardoise faite par un ouvrier.

 

       Certaines passerelles nous offrent des vues plongeantes sur des puits souvent remplis d'eau.

         Travassac est une des rares mines d'Europe où l'ardoise est encore exploitée et taillée manuellement.

 

        Les ardoises encore produites aujourd'hui sont donc chères et servent surtout à la restauration des monuments historiques.

        Avant de pouvoir recouvrir de nombreux toits de France, l’ardoise de Travassac suit un long processus de fabrication  :

    - A l’aide d’explosifs, de gros blocs de schiste sont détachés des parois.

    - Le fendeur  partage avec l’aide d’un marteau les gros blocs obtenus en morceaux plus petits appelés répartons. Cette action est appelée le rebillage.

    - Le cliveur transforme ces morceaux de schiste en feuilles d’ardoise.

    - Le tailleur donne une forme à l’ardoise ronde, carrée ou ogivale et la perce pour pouvoir la fixer sur les toits.

       Travassac fournit les ardoises spéciales destinées au Mont-Saint-Michel.

                               Cette visite est très intéressante.

 

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Ardoises préparées : Travassac
Ardoises préparées : Travassac

       La visite terminée, nous allons à Donzenac où nous ne passons que peu de temps. Nous voyons l'église reconstruite au XIXème.

 

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.... et nous gagnons Aubazine située au bord de la Corrèze. Nous ne visitons pas l'abbatiale. Nous notons, cependant, la belle vue d'en haut alors que cela nous semblait peu intéressant de près dans le village.

                                                 "La fatigue des visites ????" Aucune photo.

 

        Notre prochaine visite est consacrée à la cascade de Gimel située à environ 15 km de Tulle.

 

     Ces cascades, propriété privée, visitable(entrée 5€ / pers.).. La Montane, affluent de la Corrèze, se décompose en trois chutes (de 38 à 60 m de haut): le Grand saut, la Redole et la Queue de cheval qui plongent dans le gouffre de l'Inferno.Et c'est 140 m plus bas que ces deux rivières se retrouvent.

        Grâce à un sentier aménagé dans les arbres et la verdure, on peut en effet les approcher de près et en mesurer la force et en apprécier, un jour de chaleur comme aujourd'hui, la fraîcheur.

 

        La remontée a été un peu poussive.

 

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Les cascades de Gimel.
Les cascades de Gimel.

       Nous reprenons la route pour le camping municipal de Tulle (terrain aux installations un peu vétustes)... il est vrai que la fréquentation semble modeste.

 

        Le lendemain matin, après quelques courses, nous quittons Tulle pour Argentat sur Dordogne qui est une belle petite ville située sur les bords de la Dordogn.

 

         Argentat est un ancien site portuaire d'où partaient les gabares à destination de Bergerac et de Libourne.

 

        D'un pont, nous avons une magnifique vue sur la ville, ses quais et la Dordogne. Le reflet des maisons le long dans la rivière est agréable à contempler.(Voir diaporama)

 

        Nous observons aussi les toits en ardoises et plus particulièrement certains recouverts en lauze. (Voir diaporama)

 

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Argentat-sur-Dordogne.
Argentat-sur-Dordogne.

      Nous repartons pour Beaulieu-sur-Dordogne, petite cité médiévale à la frontière du Périgord,
        Nous nous dirigeons ensuite vers le vieux centre, presque circulaire, situé autour de l’église abbatiale du XIIème siècle (style pur roman). Nous y admirons un magnifique tympan, l' ensemble du portail sud, le clocher et ses contreforts massifs ainsi  qu'un très joli chevet. (Voir diaporama)

 

       Nous flânons dans les petites ruelles du vieux centre avant de rejoindre, au bord de la Dordogne, la chapelle des pénitents et le port où une gabare est amarrée. (Voir diaporama)
       Nous repartons pour ……….

 

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Abbatiale Saint-Pierre :Tympan et portail sud
Abbatiale Saint-Pierre :Tympan et portail sud

        ..... Curemonte que nous ne trouvons pas par inattention et continuons vers Meyssac dont nos effectuons une visite rapide. Nous notons cependant  un certain cachet à cette ville (peut-être qu'une visite plus approfondie aurait changé notre point de vue).

 

Puis nous arrivons à Collonges-la-rouge.

 

      Nous trouvons place sur un parking et allons visiter le village.

 

        Il fait bon flâner dans les rues et ruelles de ce village médiéval. La Rue Noire avec ses pavés et ses maisons bâties en retrait les unes des autres est typique des rues de ce village.

 

        L'église Saint-Pierre domine le village, sa construction remonte au XIe siècle, sa fortification, elle, date du XVIe siècle. Son clocher et son donjon lui donnent une fière allure.
        Le tympan de cette église Saint-Pierre est une des curiosités du village, sa couleur blanche contraste avec le rouge ambiant.

 

        La porte plate ainsi appelée parce qu'elle a perdu ses tours.

        La halle aux grains et aux vins date du XVIe siècle, elle abrite le four banal.

        De ruelle en ruelle, nous découvrons les merveilles de ce village médiéval. Au château de Benges, il est possible d'admirer des vestiges de mâchicoulis.

        La maison de la Ramade de Friac fut la propriété d'une puissante famille locale les Ramade de Friac. Sa construction date de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe siècle. Cette gentilhommière se distingue par ses deux tours de guets.

        Le castel de Maussac fut un ancien logis seigneurial du début du XVIe siècle. Il est facilement reconnaissable à sa fine tourelle en poivrière.

 

           Rue de la Garde, le castel de Vassinhac a été construit en 1583 pour la  famille du même nom. Avec ses tourelles, ses mâchicoulis et ses meurtrières, il nous rappelle ses caractéristiques défensives.

 

        Dans le diaporama, il est possible de retrouver tout ce que nous décrivons ci-dessus mais d'autres il est possible de découvrir encore bien d'autres choses dans ce très joli village.

 

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Collonges-la-Rouge : La Rue Noire.
Collonges-la-Rouge : La Rue Noire.

 

 

 

       Nous quittons Collonges-la-Rouge pour Turenne.

Turenne est un petit village fortifié construit autour de son château perché sur une butte qui domine la vallée corrézienne.

 

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        De Turenne, nous rejoignons le terrain de camping de Lissac sur Couze où après une journée de visites nous nous détendrons devant une bière bien fraîche.

 

        Le terrain de camping (12,80 €, taxe locale comprise) est proche du village de Lissac sur Couze.A  240 mètres d’altitude, il offre une belle vue sur le Lac du Causse et sur les collines environnantes.(Voir photos)

 

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Le jeudi 26 juillet 2007

        Ce matin, nous prenons deux photographies du Lac du Causse sur lequel une légère brume se lève. Dommage, elles ne rendent pas exactement ce que nos yeux et cerveaux....perçoivent.

 

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        Nous quittons Lissac sur Couze et nous nous rendons à Brantôme que nous connaissons déjà... nous effectuons tout de même une petite visite car le site est agréable.

        En route, nous nous sommes étonnés de voir autant de camping-cars...nous avons vite compris... Le Tour de France passe bientôt.

 

 

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          Le soir, nous nous arrêtons à l'aire de Niort (dont le paiement n'est pas encore opérationnel ), elle est située tout près du centre ville. Nous en profitons pour aller manger une pizza à l'antillaise pour monsieur et pavé fruits de mer penne regate  + sauce pour madame...

Le vendredi 27 juillet

        Nous quittons Niort et rentrons à la maison par "le chemin des écoliers" : Saint-Michel-Mont-Mercure, Saint Philbert-de-Grand-Lieu et arrivée à la maison seulement à 17 h 30 min.

 

       Pour cette balade le nombre de kilomètres n'a pas été noté...